Mon Premier Voyage De Femme « Libre » 21° Partie
Samedi.
Cest la sonnerie de mon téléphone qui me réveilla. Cinq heures, cest trop tôt pour moi qui suis une couche tard et une lève tard ; mes origines espagnoles
Je me prépare un café pendant que je commence à nettoyer lappartement et à ranger mes affaires. Je nai pas eu le temps de men occuper avec ma semaine bien chargée pensais-je avec un petit sourire.
Le jour ne sest pas encore levé sur Paris. Les forains sont déjà en train de déballer en bas. Cest le marché du samedi. Alain, mon artiste voyeur nest pas encore debout. Je regarde mes sms et mes mails en prenant mon café. Un long message de Paul mon mari, tout excité par mon aventure et les images quil reçoit. Il a bien noté que je rentrais aujourdhui avec Jeff. Il me demande de le tenir au courant pendant le voyage. Il nous préparera un petit en-cas pour ce soir.
Je regarde quelques sites de ventes privées. Rien de bien intéressant. Le temps passe. Un nouveau café, puis je file à la douche. Je prends mon temps sous leau chaude. Mes orifices sont encore sensibles : mes seins également. Ils nont jamais autant été sollicités depuis que je suis devenue une femme. Je rase mon sexe au plus près pour mon Jeff. Je me lave les cheveux. Quand je sors de la douche, il est déjà six heures trente. Je me sèche les cheveux.
Je choisis une petite robe jaune à boutons. Je pense quelle plaira à mon amant.
Voilà. Tout est propre et rangé. Ma valise et mon sac sont prêts. Je peux descendre. À peine arrivée sur le trottoir, mon téléphone sonne. Cest Jeff qui mannonce quil est à lapproche. Nous sommes top synchro.
Je me faufile au milieu des étals pour attendre Jeff. Une voiture, « ma Mini », arrive. Cest Jeff. Il sarrête pour prendre les bagages. Dans le coffre, je vois sa valise avec son ordinateur, mais aussi un sac en plastique. Jeff voyant me regard anticipe mes questions.
« Ce sont les combinaisons des mécanos qui ont préparé ta voiture.
Il range mes bagages. Une fois le coffre fermé. Jeff se tourne vers moi.
« Alors, que penses-tu de ta nouvelle voiture ? »
Elle était superbe. Je ne lavais pas vraiment vue dans latelier. Javais la tête ailleurs
« Elle est trop belle. Je suis trop chanceuse. Tu es mon ange gardien. »
Je me serre contre lui et lembrasse avec reconnaissance et gourmandise.
Le coquin en profite pour me soulever la robe et me palper les fesses.
« Bon, allons-y. Je conduis pour sortir de Paris. Tu prendras un peu le volant ensuite pour thabi à la conduite. »
La circulation est fluide à cette heure. Nous quittons rapidement Paris pour nous retrouver sur lautoroute de Clermont-Ferrand.
« Je nous ai pris des petites choses à grignoter et à boire. »
Jeff est un coquin attentionné. Je ladore pour cela.
Il profita de la conduite tranquille sur lautoroute pour me caresser les cuisses et défaire quelques boutons au bas de ma robe. Mon sexe rasé de près était à découvert. Jécartais les cuisses pour moffrir davantage aux rayons du soleil, mais surtout aux doigts de Jeff que je savais impatient de me fouiller.
Jétais bien.
Jeff me rappela que javais des accessoires qui mattendaient dans la boite à gants. Jy retrouvais effectivement le plug en métal doré et luf vibrant. Je les mis aussitôt.
Jeff tentait tant bien que mal de conduire et de faire des photos et des vidéos. Il défit encore quelques boutons de ma robe. Ma poitrine était maintenant dénudée. Jétais presque nue à la vue de tous. Je repensais aussitôt à la séquence avec le car dasiatiques. Cet épisode me fit sourire. Je mendormis.
Un sommeil accompagné du ronronnement du moteur de « ma » voiture. Les objets introduits dans mes orifices semblaient vibrer au rythme du moteur. Inconsciemment ( ?) mes doigts caressaient mon bouton durci par mon excitation.
Derrière nous, un conducteur simpatienta et klaxonna pour que nous le laissions passer. Avec regret, Jeff accéléra et nous abandonnâmes notre routier.
Jétais conquise par les jeux coquins de Jeff qui savait me donner du plaisir, tout en mobligeant à dépasser des barrières posées par léducation stricte que javais reçue, comme la très grande majorité de femmes.
Je me rapprochais de mon amant pour poser ma tête sur son épaule, une main sur le renflement très prometteur de son pantalon. Je réussis, avec difficulté, mais détermination, à sortir sa queue qui était gonflée de désir. Hummm. Une belle queue aux proportions idéales. Je posais ma tête sur ses genoux pour la déguster. Lexercice nétait pas aisé, surtout dans une Mini, mais je mappliquais à lécher, sucer, mordiller, avaler le sceptre tendu de mon amant. Ma langue montait et descendait le long de son pieu. Ma bouche tentait de faire de même.
Je pensais à notre dernière nuit et à léjaculation nocturne de Jeff. Jétais toute excitée. Jeff réactiva la télécommande. Luf vibrait dans un océan de cyprine. Je craignais de salir ma robe et le siège de mon auto
.
Jeff et moi étions tous les deux soumis aux vibrations de la voiture et de luf. Je sentais que les mouvements de lobjet se transmettaient à tout mon corps et au gland de mon amant. Nous étions unis dans une vibration sexuelle intense qui nous emporta simultanément. Jeff lâcha de puissants jets dans ma gorge que jeus du mal à avaler sans m
Une crème goûteuse que jappréciais jusquà la dernière goutte. Je restais ainsi allongée, sa queue dans ma bouche.
Nous roulâmes ainsi pendant de nombreux kilomètres.
« Une petite pause pour un café. » me dit Jeff.
Nous nous rhabillâmes. Je gardais mes jouets en moi. Jeff alla commander les cafés pendant que jallais aux toilettes.
Nous nous installâmes dans un coin, serrés lun contre lautre. Jeff, toujours une main sur ma cuisse nue. Avant de se lever, Jeff défit deux boutons de ma robe qui dévoilait ainsi haut mes cuisses nues. Je perçus les regards affolés des coquins qui me regardaient marcher au bras de mon amant à la limite de la décence. Jétais rouge de confusion, mais si bien avec Jeff.
Arrivés à la voiture, Jeff me demanda de poser devant pour faire quelques photos. Il ouvrit un autre bouton et le vent samusait avec ma robe légère.
Il déclencha à nouveau la télécommande, ce qui eut pour effet de me tétaniser. Je maccrochais à lauto. Je fermais les yeux. Je me cambrais, je me crispais, pour tenter de mopposer à la jouissance qui sannonçait, là sur le parking. Rien ny fit, une vague de plaisir menvahit. Je me mordillais les lèvres pour ne pas crier
Et un tsunami memporta violemment.
Quand les vibrations sarrêtèrent, jouvris les yeux. Tout dabord, je vis Jeff tout sourire en train de me filmer. Puis, je vis des hommes un peu plus loin qui sétaient arrêtés pour me mater. Jétais gênée. Mon amant sapprocha de moi pour membrasser à pleine bouche
« Hum. Tu sens le sperme ou je me trompe ? »
Quel coquin ce Jeff. Il fait exprès de me faire rougir et de me taquiner.
« Allez, ma belle. On y va. »
Il mouvre la porte et en profite pour maider à monter en relavant totalement ma robe. Quel cochon !!!!
Nous repartons. Je peux souffler
Jeff mouvre totalement la robe. Me voilà nue à côté de lui. Il me filme. Je me surprends à regarder dans le rétroviseur quand nous dépassons un camion. Certains camionneurs nous font des appels de phare.
Je me sens en sécurité près de mon amant. Que peut-il marriver ? Jai les cuisses grandes ouvertes. Jeff me demanda de me masturber, parce quil prend beaucoup de plaisir à me voir jouir ; voir mon visage séclairer dans la jouissance.
Je ne me fis pas prier. Parce que je veux faire plaisir à Jeff, puis parce que jaime me donner du plaisir
Jeff a ressorti son téléphone pour me filmer
Dès quil sent que ma jouissance approche, il déclenche la télécommande de lobjet vibrant. Je suis tellement crispée que je peux ressentir les vibrations dans mon vagin et dans mon cul simultanément. Un immense orgasme me submerge alors
.
Ma jouissance massomme. Je me laisse bercer et je mendors, ma main sur mon sexe, mes doigts près de mon bouton
.
Cest le clignotant qui me sort de ma somnolence. Jentends Jeff qui me dit quil va juste faire une pause pipi et que je peux rester dans la voiture quil verrouille. Je continue mon demi-sommeil. Un bruit me sort de ma torpeur. Jentrouvre légèrement les yeux et japerçois un homme près de ma vitre qui se masturbe en mobservant. Je maintiens les yeux entrouverts, mais je ne peux mempêcher de regarder le sexe tendu, gonflé, aux dimensions hors normes si près de moi. Je ne pensais pas quune queue dhomme de cette taille puisse exister.
Ma main, mes doigts me fouillèrent en imaginant ce que ce pal pourrait me faire. Je me branle sans vergogne, totalement impudique devant le regard de cet inconnu. Jintroduis trois doigts, quatre, puis ma main entière dans mon vagin, mimant un acte sexuel improbable avec cet étalon et je jouis très violemment, avec un cri inhabituel qui résonna dans la Mini. Lhomme, satisfait par mon exhibition et par ma jouissance, fit gicler sa semence sur ma vitre. Des jets multiples et puissants dune crème épaisse qui semblait rester coller sur la vitre
. Excitée par la situation, je me surpris à lécher la vitre intérieure, comme pour boire cette liqueur qui métait offerte, en regardant lhomme surpris par mon audace.
Je vis mon voyeur se redresser et séloigner. Jeff revenait.
Me voyant toute remuée. Il me demanda :
« Tout va bien Éva ? »
Tandis que jacquiesçais, Jeff reprit la route et je lui racontais ce quil sétait passé.
« Éva, mon Évita chérie, tu es impayable. Je tadore. Tu es faite pour lamour. Ne change rien. »
Je pensais en moi-même que tout cela marrivait un peu tard, que jaurais dû écouter Paul plus tôt et lui faire confiance. Pourquoi imposer toutes ces limites aux femmes dès leur plus jeune âge ? Et dire que dans certains pays, on va même jusquà les exciser ou les
Je me redressais dans mon siège et pris quelques gâteaux dans le sac de Jeff. Je lui en tendis quelques-uns et nous restâmes un moment sans rien dire.
Jeff minterrogeât sur ce que ma maison à Montpellier. Je lui racontais tout ce quil voulait savoir de moi.
« Mais comment as-tu pu passer de cet état de mère-épouse-amie-professionnelle modèle à ce total lâcher prise qui te caractérise depuis que je te connais ? »
« Justement. Je pense que, malgré toi, tu as été, avec Antoine, lélément déclencheur. »
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